Peigne à égrener

Irapioë

DATA:

19e siècle : 1ère moitié 20e siècle

Après la moisson, qui avait généralement lieu à la fin du mois d'août, le lin et le chanvre doivent être égrenés. Il s'agit de séparer les graines des enveloppes et des feuilles sèches en passant les tiges dans un peigne également appelé "égrugeoir". A Vallorcine, selon une publication de la coopérative scolaire publié dans les années 1950, les graines de lin restantes étaient utilisées comme semences ou comme médicament sous forme de farine (Cf. Travaux d'autrefois. Les textiles à Vallorcine. Rédigé, illustré et imprimé par les élèves de l'école du chef-lieu, Vallorcine, 1952-1953).

DESCRIZIONE FISICA

Peigne à égrener constitué d'une base en bois et de 16 pointes en fer forgé de section carrée et s'effilant vers le haut. Celle des extrémités sont recourbées. Le tout est inséré par le dessous du socle et maintenu par des clous.

DOMINIO

Artisanat - industrie, Agriculture - élevage, Vie domestique

MISURE

H. en cm : 27; l. en cm : 7.5

NUMERO DI INVENTARIO

2009.0.556

LUOGO DI CONSERVAZIONE

Musée Alpin de Chamonix-Mont-Blanc

CATALOGATO DA

Musée Alpin de Chamonix-Mont-Blanc